Quatrième de couverture :
The Fevre Dream was one of the finest steamboats ever built, the pride of its captain, Abner Marsh. But as it sails the length of the river, the rumours begin about Marsh’s enigmatic partner, Joushua York. He eats only at midnight, and in the compagny of friends who are never seen during daylight hours ; and a trail of terrible deeds along the shores follows in the Fevre Dream’s wake.
George R. R. Martin’s riveting and wonderfully atmospheric tale of vampires in nineteenth-century America catapulted him into the forefront of the contemporary fantasy writers when first published in 1982.
1857, sud des Etats-Unis. Abner Marsh, autrefois à la tête d’une compagnie navale prospère, ne possède plus que sa réputation d’excellent capitaine. Un soir, à Saint Louis, il reçoit une étrange proposition : Joshua York, un inconnu au teint pâle, lui offre la somme suffisante pour construire le bateau de ses rêves, à la condition de le prendre comme associé et d’accepter ses amis, son bord. Le rêve d’Abner devient réalité : le Rêve de Fevre surpasse en splendeur et en rapidité tous les autres bateaux à vapeur sur le Mississippi. Le voyage sur le Grand Fleuve commence, mais d’étranges rumeurs se répandent parmi l’équipage. Car Joshua et ses amis fuient la lumière du jour…
Mon avis :
Fevre Dream – Riverdream pour la traduction française – était la lecture de juin du Cercle d’Atuan (oui je suis en retard…) Au vu de la couverture, je n’ai pas résisté et l’ai acheté dans sa version anglaise . J’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire, mais me connaissant c’est sans doute dû à la VO, j’ai toujours plus de mal à me plonger dans un livre qui n’est pas écrit en français. Mais une fois dedans, j’ai beaucoup apprécié de suivre Abner Marsh dans ses aventures. Autant pour l’ambiance du Mississippi et ses courses de bateau à vapeur, que l’ambiance fantastique avec la présence des vampires. Joshua bien sûr, mais aussi Julian et sa bande. J’ai d’ailleurs trouvé très intéressant la description que Martin fait de ses vampires, assez éloignés des clichés habituels (dans leur conception j’entends, pas forcément dans leur comportement). Quant à l’histoire, elle est plaisante à suivre, on s’interroge avec Marsh, on tremble avec lui, pour lui (mais aussi pour d’autres !), on se demande comment tout ça peut bien se terminer, bref ça se dévore (ou on aimerait le dévorer plutôt, puisque le principe du Cercle est de lire par petits bouts…) En conclusion, Fevre Dream a été pour moi une belle découverte, que je ne peux que conseiller aux amateurs de vampires qui ne brillent pas au soleil 😉
Ils en ont parlé :
j’avais trouvé quelques autres couvertures anglaises, peut-être que la tienne y est? (jette un oeil sur mon article)
Merci Tortoise, elle y était du coup j’ai modifié mon article pour la mettre 🙂